En 2021, le top 10 de l’OWASP, qui met en lumière les vulnérabilités les plus courantes des applications, a quelque peu évolué. En effet les failles d’injection, auparavant les plus critiques, se retrouvent désormais sur la troisième marche du podium.
Cela peut s’expliquer notamment par le fait que les développeurs prennent davantage conscience des risques liés aux vulnérabilités d’injections via la mise en œuvre d’outils et de pratiques plus sûrs pour le développement d’applications. Et évidemment LA mesure essentielle pour limiter le risque d’injection SQL consiste en l’utilisation de requêtes préparées.
Pour ce faire, on utilise généralement un ORM, ce qui peut introduire de nouveaux risques comme nous allons le voir dans cet article.